sábado, 20 de agosto de 2011

Possession : une belle reprise de Lavilliers




Je l’avais déjà dit,
j’ t’avais dans la peau,
comme une maladie,
un coup de couteau.
Comme un repenti qui se cache
et se trouve bien seul assis sur son cercueil.
C’est la mort qui vient
L’amour qui s’enfuit
le bonheur ça fait pas crédit.

Tu l’as déjà dit : fais pas de grand mot
quand tout est fini c’est un mot de trop.
Comme un affranchi qui s’arrache
et ce méfie de tout
qui tiendra jusqu'au bout ?
C’est moi qui m’en vais ou c’est toi qui part mon amour
le bonheur, c’est toujours trop tard.

Si c’étais la vie qui jouait du poignard
avec ma folie je crois plus au hasard.
Avec ma douleur relâchée dans la ville
alors mes seigneurs, personne n’est tranquille.
Oh ma belle, encore un verre d’alcool
et je vais fusiller le destin de plein vol.

Ils l’ont déjà dit, la passion dévore
et qu’au fond d’un puits je vais jeter ton corps.
Je pousserai dessus le sable et les galets de la plage
pour cacher ton visage
oublier ton corps derrière les barreaux ,
le bonheur, ça fait pas de cadeau.

Je vais compter les heures, les jours,les mois
et surtout les nuits passées dans le froid.
Dessiner tes yeux en milliers d’exemplaires
mon amour- au fond de ma ratière.
C’est la mort qui vient quand le rêve est fini
le malheur,ça n’a pas de prix.

Si c’était la mort qui me voulait trop tôt
elle est bien pressée pour jouer de la faux.
Veut me faire payer mon amour indocile.
Alors la joueuse, on n’est pas tranquille ?
J’attends enroulé dans mes chaines
et d’un seul coup, d’un seul,
allez, finis ma peine.


Un autre clip


Por la blanda arena que lame el mar
Su pequeña huella no vuelve más
Un sendero sólo de pena
Y silencio llegó
Hasta el agua profunda
Un sendero solo de pena muda llegó
Hasta la orilla

Sabe Dios que angustia te acompañó
Que dolores viejos calló tu voz
Para recostarse arrullada en el canto
de las caracolas marinas
la canción que canta en el fondo oscuro del mar
la caracola

te vas Alfonsina con tu soledad
que poemas nuevos fuiste a buscar
una voz antigua de viento y de sal
te requiebra el alma
y la está llamando
y te vas
hacia allá como en sueños
dormida alfonsina vestida de mar

cinco sirenitas te llevarán
por caminos de algas y de coral
y fosforescentes caballos marinos
harán una ronda a tu lado
y los habitantes del agua van a jugar
pronto a tu lado
bájame la lámpara un poco más
déjame que duerma nodriza en paz
y si llama él no le digas que estoy
dile que
alfonsina no vuelve
y si llama ál
no le digas nunca que estoy
di que me he ido

te vas Alfonsina
vestida de mar


Interprétée par Mauranne et Claudia Meyer, Nana Mouskouri , Ainhoa Arteta
Andrés Calamaro, par Miguel Bosé

Pour en savoir plus
Alfonsina Storni

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