miércoles, 31 de agosto de 2011

Peppermoon: Barcelone



Je viens de découvrir cette belle chanson dans "El hexágono"en écoutant sa dernière émission. "Ciudades (París-Dakar) - 27/08/11 "

sábado, 20 de agosto de 2011

Possession : une belle reprise de Lavilliers




Je l’avais déjà dit,
j’ t’avais dans la peau,
comme une maladie,
un coup de couteau.
Comme un repenti qui se cache
et se trouve bien seul assis sur son cercueil.
C’est la mort qui vient
L’amour qui s’enfuit
le bonheur ça fait pas crédit.

Tu l’as déjà dit : fais pas de grand mot
quand tout est fini c’est un mot de trop.
Comme un affranchi qui s’arrache
et ce méfie de tout
qui tiendra jusqu'au bout ?
C’est moi qui m’en vais ou c’est toi qui part mon amour
le bonheur, c’est toujours trop tard.

Si c’étais la vie qui jouait du poignard
avec ma folie je crois plus au hasard.
Avec ma douleur relâchée dans la ville
alors mes seigneurs, personne n’est tranquille.
Oh ma belle, encore un verre d’alcool
et je vais fusiller le destin de plein vol.

Ils l’ont déjà dit, la passion dévore
et qu’au fond d’un puits je vais jeter ton corps.
Je pousserai dessus le sable et les galets de la plage
pour cacher ton visage
oublier ton corps derrière les barreaux ,
le bonheur, ça fait pas de cadeau.

Je vais compter les heures, les jours,les mois
et surtout les nuits passées dans le froid.
Dessiner tes yeux en milliers d’exemplaires
mon amour- au fond de ma ratière.
C’est la mort qui vient quand le rêve est fini
le malheur,ça n’a pas de prix.

Si c’était la mort qui me voulait trop tôt
elle est bien pressée pour jouer de la faux.
Veut me faire payer mon amour indocile.
Alors la joueuse, on n’est pas tranquille ?
J’attends enroulé dans mes chaines
et d’un seul coup, d’un seul,
allez, finis ma peine.


Un autre clip


Por la blanda arena que lame el mar
Su pequeña huella no vuelve más
Un sendero sólo de pena
Y silencio llegó
Hasta el agua profunda
Un sendero solo de pena muda llegó
Hasta la orilla

Sabe Dios que angustia te acompañó
Que dolores viejos calló tu voz
Para recostarse arrullada en el canto
de las caracolas marinas
la canción que canta en el fondo oscuro del mar
la caracola

te vas Alfonsina con tu soledad
que poemas nuevos fuiste a buscar
una voz antigua de viento y de sal
te requiebra el alma
y la está llamando
y te vas
hacia allá como en sueños
dormida alfonsina vestida de mar

cinco sirenitas te llevarán
por caminos de algas y de coral
y fosforescentes caballos marinos
harán una ronda a tu lado
y los habitantes del agua van a jugar
pronto a tu lado
bájame la lámpara un poco más
déjame que duerma nodriza en paz
y si llama él no le digas que estoy
dile que
alfonsina no vuelve
y si llama ál
no le digas nunca que estoy
di que me he ido

te vas Alfonsina
vestida de mar


Interprétée par Mauranne et Claudia Meyer, Nana Mouskouri , Ainhoa Arteta
Andrés Calamaro, par Miguel Bosé

Pour en savoir plus
Alfonsina Storni

lunes, 15 de agosto de 2011

Lire est un plaisir

Je vous laisse le lien d'un blog littéraire assez intéressant où vous trouverez les sorties littéraires mais aussi des interviews vidéos et des podcasts.

lunes, 8 de agosto de 2011

Gainsbourg: Elaeudanla Téitéia



Un autre clip

Et puis un autre

Sur ma Remington portative
J'ai écrit ton nom Laetitia
Elaeudanla Téïtéïa

Laetitia les jours qui se suivent
Hélas ne se ressemblent pas
Elaeudanla Téïtéïa

C'est ma douleur que je cultive
En frappant ces huit lettres-là
Elaeudanla Téïtéïa

C'est une fleur bien maladive
Je la touche du bout des doigts
Elaeudanla Téïtéïa

S'il faut aller à la dérive
Je veux bien y aller pour toi
Elaeudanla Téïtéïa

Ma raison en définitive
Se perd dans ces huit lettres là
Elaeudanla Téïtéïa

Sur ma remington portative
J'ai écrit ton nom Laetitia
Elaeudanla Téïtéïa

Parlez-moi d'amour

Lucienne Boyer (1930)


Juliette Gréco (1967). Live à Berlin


Dalida


Patrick Bruel

Garou & Elsa & Patricia Kaas

Parlez-moi d'amour
Redites-moi des choses tendres
Votre beau discours
Mon cœur n'est pas las de l'entendre
Pourvu que toujours
Vous répétiez ces mots suprêmes
Je vous aime

Vous savez bien
Que dans le fond je n'en crois rien
Mais cependant je veux encore
Écouter ce mot que j'adore
Votre voix aux sons caressants
Qui le murmure en frémissant
Me berce de sa belle histoire
Et malgré moi je veux y croire

Parlez-moi d'amour
Redites-moi des choses tendres
Votre beau discours
Mon cœur n'est pas las de l'entendre
Pourvu que toujours
Vous répétiez ces mots suprêmes
Je vous aime

Il est si doux
Mon cher trésor, d'être un peu fou
La vie est parfois trop amère
Si l' on ne croit pas aux chimères
Le chagrin est vite apaisé
Et se console d'un baiser
Du cœur on guérit la blessure
Par un serment qui le rassure
Parlez-moi d'amour
Redites-moi des choses tendres
Votre beau discours
Mon cœur n'est pas las de l'entendre
Pourvu que toujours
Vous répétiez ces mots suprêmes
Je vous aime

En espagnol

Hábleme de amor
Repítame cosas tiernas
Su bello discurso
Mi corazón no esta cansado de oírlo
Con tal que siempre
Usted repetía estas palabras supremas:
" Le quiero "

Usted sabe bien
Que en el fondo no lo considero nada
Pero sin embargo todavía quiero
Escuchar esta palabra que adoro
Su voz a los sonidos cariñosos
Que lo murmura estremeciéndose
Sra mece de su bella historia
Y a pesar de mí quiero creer en eso

[coro]

Es tan dulce
Mi querido tesoro, de ser un poco loco
La vida es a veces demasiado amarga
Si no se cree en las quimeras
La pena es rápidamente apaciguada
Y se consuela de un beso
Del corazón curamos la herida
Por un juramento que lo tranquiliza

[coro]

Con tal que siempre
Usted repetía estas palabras supremas:
" Le quiero "